« Nos visites et diagnostics se font toujours avec les personnes », explique Cécile Cloarec. Cela aide les personnes à revoir leurs représentations liées à certaines pratiques. Par exemple : « Nous essayons de sensibiliser à la qualité de l’air intérieur en passant par une méthode expérientielle.
À l’aide d’un appareil mesurant la teneur en dioxyde de carbone, on prend des mesures avec les personnes au début de la visite. Puis, on propose d’ouvrir la fenêtre pendant une dizaine de minutes. Résultat : on constate ensemble que la qualité de l’air s’améliore et que le taux d’humidité baisse. »